Comment définir celui que l'on dit de démon de par tous ses aspects différents sans en devenir barbant... Zaraki, pareillement à ce que peut en traduire sa force mentale, est de ceux présentant un physique des plus auguste sans pour autant se révéler être attirant, tant ses attribues physiques semblent défavoriser ses traits faciales au contre-exemple des autochtones occupant la même place hiérarchique que lui. Véritable paradoxe de cette ère, ses muscles saillant ne sont pas sans rappeler ses dures labeurs journalières et quand bien même l'on en oubli sa démesure physique dont il fut nantit, l'on peut vanter les mérites du shinigami a l'entraînement qu'il s'impose. Comment peut-on prétendre avoir l'audace d'infliger une once de jugement - a quand bien même il serait nuancé, qu'il soit la question de zèle ou non - sur un profil sinusoïdale... ? Car si, a vu d'œil, l'adjectif de mise a la définition même de sa personne en reste la démesure et la folie a titre, un tantinet, hyperbolique - c'est qu'il n'ait eut a révéler l'infâme et pharamineuse puissance sommeillant en son œil droit au devant ses inquisiteurs accouplée a ses compétences hors paires. Car, il n’est la histoire d'effrayer quelques péquenauds goguenard - sachant qu'il guette de son seul œil l’adversaire propice pour recourir a ces méthodes archaïques. Il n’est pas la question de légende mais d’une terrifiante réalité a laquelle nul n’aimerait avoir a se confronter en toute connaissance de cause, ce qui aurait aussi tôt pour effet de rebuter les plus subversifs quant à leur jugement initial. Folie et démesure ne sont pas les armes définissant primitivement le colosse, elles sont sa pantagruélique maîtrise de soi et ses incomparables compétences au zanjutsu.

De râble, tel le fauve scrutant imperturbablement l'horizon - a la conquête de chaire fraiche, l'on croirait avoir affaire a l'équivalence même d'une somptueuse mais quelque peu rugueuse femelle dont on ne pourrait se lasser... Se fourvoyant quant a sa réelle identité, d'un remous de tête il est vous est donné de le dépeindre. L'opalin marmoréen, n'ayant de distraction que l'horizon, se détourne de votre personnage jugé trop inintéressant. Le peu de cette entrevue qu'il vous est donné de traduire, se dit de cet effroi émérite... Tel le félin se détournant de cette chaire moisie d'où émergeait une vive source d'appréhension in extremis, il est vous est concédé de vous remémorer ses sinistres mirettes ne laissant présager qu'un avenir sanglant - si tant est si bien qu'on s'essayerait a lui faire froncer, ne serait-ce que d'un poil, l'étroit amas capillaire ébène singulièrement immobile - surplombant l'artefact couvrant sa pupille, amalgame d’on ne sait trop quoi de magique, de cuir et de tissu noir, qu'il porte a ravir. De cette singularité désinvolte l'envie naquit de l'aborder... Vite immolée par cette prunelle ne traduisant qu'un instinct de destruction.

En traduisant de ses allures bestiales, le charisme - a titre cardinal - serait l'adjectif prépondérant a sa définition même... Les plus téméraires pourraient en témoigner, sans même un zeste de parcimonie, a l'exception d'antagonistes dont l'amertume d'une impérieuse défaite se serait perpétuée au travers du temps si tant est qu’ils aient survécus a la démesure du capitaine. De face, en dépit de sa peinture fort peu gratifiante, sa stature en est abrupte ne laissant présager qu'une impartiale discipline revendicatrice d'inhumanité. Si tant est si bien qu'en témoignent ses accoutrements... Les accoutrements mêmes du Capitaine de la onzième, que peu rutilants, qui ne sont pas sans rappeler une certaine animosité.


La seule source de motivation d'un démon ou de tout autres bêtes sauvages réside dans la chaire fraîche et donc dans l'accomplissement d'homicide que nul ne pourra le lui reprocher ni ne lui faire payer le dût que présente son crime de par sa toute puissance mais aussi de par son innocence. En raison de ses hérédités acquises et de son patronyme trop peu plural Kenpachi a adopté les motivations mêmes d’un démon, prédateur aguerrit. A quoi bon dites vous... ? A l'instar de ses presque congénères autrement dit shinigamis, Zaraki nourrit - sans n'y trouver de repos - l'envie intarissable d'exterminer ses antagonistes de sa force démesurée... Car même s'il ne peut encore se targuer d'avoir pulvérisé, de son zanpakuto et de sa toute puissance, assez d'opposants pour prétendre succéder au chef incontesté du gotei 13  - son palmarès en est pantagruélique et indiscutablement in-comptable.

Atrabilaire serait certainement l'adjectif prépondérant a la définition même de sa mentalité... Car si le sabreur dit avoir hérité des motivations animant le démon lui même au jour le jour, il était également l'humble bénéficiaire de l'ensemble des traits psychologiques en appartenance a ses inconnus défunts. Qu'il soit la question de toutes les facettes tapissées dans l'ombre de ce premier adjectif... Si tant est que la situation se présente, le capitaine de la onzième, s'opposant a une tartinée de pimbêches plus somptueuses les unes que les autres, restera de marbre, son impartialité surplombant et écrasant ses onces de pétulances. A moins de jouer de leurs charmes avec un zèle n'ayant d'équivoque qu'une réputation, l'opalin ne se laissera tenter a se délecter d'une nourriture incertaine bien qu'appétissante. Enfin, gardons a l’esprit que ce protagoniste ci est un homme et qu’à moins de n’être homosexuel les femmes ne sont pas sans effets sur un homme.

Définit a la manière d'un quidam au sang chaud, s'il eut aspiré au rang qu'il prône glorieusement en ce jour et s'il l’eut atteint ce ne fut pas par folie – bien que la manière en soit un contre témoignage - ... Mais en raison de ses plus profondes motivations. Motivations dites instinctives ou acquises de naissance. N’y voyez pas la une foie en le gotei 13 quelconque bien qu’il se soit un tantinet attaché a ses troupes mais diriger de sang froid la onzième division ne signifie ni plus ni moins une chasse a l’ennemi permanent et moult rixes livrées sur un plateau en diamant. Que l’antagoniste soit définit comme bon ou mal, Kenpachi n’en a que faire, n’ayant aucun sens du bien ou du mal. Car d'après Zaraki il n'existe aucun parti qui soit meilleur qu'un autre. Une neutralité déformée par un ensemble d'idéaux.

Ayant donc laissé croître au grès du temps l'amalgame que constituaient une mentalité de fer et cette indéniable part de folie dut à ce côté démoniaque dont il est l’hôte, Kenpachi devint et est, de nos jours, un combattant hors paire possédant un grand sens de la réflexion masqué par cette gargantuesque folie et ses pulsions meurtrières insatiables.

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