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Yamada Shiina

InvitéInvité
MessageSujet: Yamada Shiina Yamada Shiina EmptyLun 29 Aoû - 23:47

Shiina Yamada

Le remède à l'ennui, c'est la curiosité. La curiosité elle, est sans remède.

Yamada Shiina Sans_t39
Votre identité

Age: A vrai dire, même s'il parait avoir 25 ans physiquement, il semble plus vieux aux yeux des autres, quand on sait qu'il en a dix fois plus.
Race : Ce sera un Shinigami, parmi tant d'autre.
Grade: Kidô Ban Tai Taisho
Objectif(s) : Être au dessus de mes prédécesseurs en créant l'inimaginable.
Passion(s) : Travailler sur ces recherches, Boire du saké, Manipuler son entourage.



Votre Physique

    « Un Shinigami a plusieurs forme aux yeux des humains, ce qui n’est pas totalement faux »

    La vérité était qu’ils avaient tous une forme humaine, celle d’âme perdu dans un monde qui n’était pas le leurs. Sombre, secret, furtif, le shinigami ne laissait pas le temps d’être vue par les rares yeux qui avait un don de perception sortant de l’ordinaire.

    Dans cet autre monde par contre, on les connaissait de diverse manière, il faisait parti intégrante de la vie de tous, même si le mélange semblait assez rare. En cherchant un peu plus loin, bien caché derrière des murs, il y avait ce personnage doté d’un visage plutôt… intéressant.
    Le plus remarquable chez ce jeune homme, était sans nul doute sa chevelure qui était d’un blanc neige. Du moins, c’est comme ceux-ci qu’on aurait pus le voir, mais la pièce était que trop éclairé, on ne voyait pas la nuance grise qui se dévoilait dans les endroits sombres. Quelques fois, sous la lumière, on pouvait voir dans tout ce banc, des nuances verte, surement du à la lumière du soleil. Cela était plus étrange qu’incroyable, mais cela lui donnait un côté mystérieux, étrange, qui donnait envie d’en savoir plus sur lui. Quelque peu brisé par cette coiffure, preuve d’un style excentrique, venant du personnage que l’on ne connaissait pas. Une coiffure certes étrange, mais qui ne semblait pas être arboré par ce seul homme, bien qu’il y ait eu des nuances et des différences flagrantes. Dans cette sombre lumière, on pouvait à peine distinguer les yeux du jeune shinigami, qui était concentré sur un papier sur lequel il notait d’étrange chose. Ces yeux semblait plutôt fin comparé à la plupart de ses congénère, plutôt allonger et lui donnait l’air d’être paisible, de ne pouvoir être ébranler par quoi que ce sois. Son seul regard donnait l’impression de pouvoir voir à l’intérieur de l’âme de son interlocuteur. On ne pouvait savoir s’ils étaient capables de distinguer la profondeur du bleu de ses yeux, qui avait l’air aussi profond que les abîmes de la mer. Un bleu qui ne pouvait être distingué par cette lumière qui emplissait la pièce et qui ne semblait pas le déranger, surement ne la voyait-il pas. En dessous de son œil gauche, on peut y voir un tatouage qu’il avait déjà le jour ou il se réveilla dans ce monde qui lui était inconnu. Elle arbore une forme étrange, mais qui suis bien la courbe de son œil, elle lui donne plus d’impact sur son entourage. Plus intéressant encore, c’était les traits de son visage, qui exprimait généralement ses humeurs, même s’il avait l’habitude d’arboré son éternel sourire. Un sourire fin, simple qui n’exprimait ni joie ou quoi que ce soit. S’il n’avait pas cette habitude, l’on aurait pus dire qu’il avait un visage neutre, qui ne montrait aucune émotions, mais ce sourire… Il était troublant et il était une façade pour le personnage, qui gardait pour lui ses intentions et certaine fois ses conclusions.

    Loin de tout ça, le jeune homme semblait perdu dans ses pensées, comme s’il était absorbé par une de ses nombreuses recherches. On ne pouvait pas discerné derrière cette chaise, la taille du jeune homme dont le corps était tordu de bien des façons. Il allait sur ses un mètres soixante et onze, une taille modeste pour un jeune homme de son envergure. Disposant d’une taille qui est dans la tranche moyenne du peuple des âmes, il n’a pas de quoi s’imposé physiquement. Du moins, c’est ce qui semblerait, mais en réalité, Shiina dégage une aura impressionnante. Une certaine prestance ce dégage de lui, une forme de noblesse qui n’est pas dû à une quelconque bonne famille. A première vue, il ne semble y avoir aucun excès de calorie, prouvant qu’il serait du genre à prendre soin de lui, malgré cela, ce n’est qu’un vif gourmand. Au contraire, son corps semble plutôt bien proportionner, montrant une certaine finesse dans les lignes du corps. Sa musculature ne semble pas être un des éléments les plus importants de son physique, comme elle est pauvre. On peut dire que le corps de Shiina est normal et peu muscler pour son genre, mais cela dépend surement du physique dont-il était doué lors de son ancienne vie.

    En ce qui concerne son style vestimentaire, il faut comprendre qu’il avait le choix entre reprendre le style de ses prédécesseurs, qui était un peut trop vifs en couleur et trop extravagant, on en retourner au bon vieux style des shinigamis, avec un Haori. De bien des manières, cette solution lui était préférable et c’est pour cela qu’il a choisis de revêtir un habit plus traditionnel, propre au shinigamis. Vêtu d’un kimono de couleur noir, de petit motif blanc semble s’y être installé, qui sont fait de diverse courbe qui le rend plus saillant et agréable à regarder. Par-dessus, il porte un Haori de couleur bleu, qui n’arbore aucun grade ou quoi que ce sois du genre. Sur ce Haori, on peut voir de dessiner sur le bas, quelques fleur de lotus poser sur une eau vacillant fortement, fait d’un blanc presque transparent, qui s’associe avec le bleu, sans pourtant avoir eu l’air de fusionner. C’est un magnifique habit qui a tendance à refléter la personnalité du personnage, qui semble inébranlable. Au niveau de sa tête et ceci lui est plus personnel, il y a un masque qu’il ne met que sur le côté gauche de la tête. Ne lui gênant point les yeux et ne cachant pas son visage, il le porte simplement car il aime ça. C’est la représentation d’un renard comme on en trouve dans le monde humain, que l’on appelle au japon, Kitsune. Au niveau de ces pieds, le jeune homme ne porte rien d’autre que des Geta qu’il trouve plus agréable et plus pratique. Il faisait juste trop noir dans la pièce pour qu’on puisse les voir, la lumière n’éclairait que le haut. Suffisamment pour que le jeune homme puisse travailler convenablement.


Votre Mental

    « Un mur n'est jamais trop prêt d'un autre. De toute façon, ils ont beau se ressembler, ils sont très différent »

    Il est toujours là, dans cette pièce sombre à regarder ce bout de papier, afin de pouvoir venir à bout de sa soif de création. En le regardant bien, on pouvait voir cet éternel sourire qu’il arborait, tandis qu’il travaillait comme un acharné, même s’il lui arrivait souvent que ces heures passé derrière un bureau ne lui servent à rien.

    Shiina est vue en général comme un garçon plutôt sympathique avec lequel il est bon de passer du temps. Un côté qui ressort beaucoup chez lui, c'est le calme dont il est capable de faire preuve. Oui, il reste le plus souvent calme, mais pas au point d'en devenir ennuyeux. Généralement, il se montre avec son sourire, très petits qu'on associe le plus souvent à une attitude cool ou sinon à une certaine arrogance. Bien loin de vouloir se montrer arrogant, le personnage à l'habitude d'aborder son entourage, ami comme total inconnu qu'il rencontre dans l'établissement. Bien sûr, il n'adopte pas la même attitude avec un inconnu, mais il essaye souvent de le connaitre. Souvent dans la foule, il n'est pas celui qui va lancer les hostilités ou quoi que ce sois dans le genre. Très sociable, il adosse souvent le rôle du personnage qui est toujours prêt à aider son entourage, s'il seulement il a envie de s'en donner le temps. Patient, il n'a pas l'habitude de foncer tête baissée sur ce qui se présente devant lui. En fait, il est rarement pressé et fait toujours les choses qu'il a à faire sans avoir à ce dépêché. Autant dans ses affaires sociales que dans des affaires qui n'ont rien à voir avec ce que l'on connaît du monde, il sait en tirée profit. Sa patience, il l'associe souvent avec d'autre chose, elle l'aide en quelque sorte. Quand il est bien entouré, il participe avec son entourage, surtout dans les discutions et surtout il pratique.
    Il arbore ce sourire qui pouvait sois le faire passer pour une personne en qui on pouvait avoir confiance ou bien d’autre chose. Pourtant, ce sourire ne valait rien, il ne voulait rien dire et il fallait le connaitre pour le savoir, car beaucoup se sont pris dans ce piège. C’était devenu une habitude pour lui, au point qu’il ne s’en rendait plus compte. Pour lui, son visage était neutre et n’exprimais rien, c’était normal puisqu’il était ainsi depuis de nombreuse années. D’une certaine façon, elle reflétait quelques traits de sa personnalité qu’il voulait bien montré, les plus évidentes.
    On le reconnaitra le plus souvent pour ses côté joueur et taquin qu’il exerce sur presque toute ses nouvelles connaissance. Il prend un plaisirs à dérouté ses nouvelles connaissance et de les rendre connus comme il l’a toujours fait. Il n’hésite pas à appuyer sur les point sensible de sa victimes, quel qu’il soit, tant que bien sur il dispose des quelques informations qui lui permettrait de jouer avec cette personne. En quelques sorte, s’il ne les à pas, il n’hésite pas à piégé la personne pour les obtenir, pas besoin d’aller chercher ailleurs. Il est assez doué à ce jeu c’est ce qui le rend si troublant à vrai dire. Autrement, il lui arrive tout de même de taquiner ses connaissances, les gens qu’il pourrait considérer comme étant des amis, on ne sait pas vraiment ce qu’il en est. Ce n’est pas un côté mauvais de lui, à vrai dire il est assez sympathique comme garçon. Il ne semble pas avoir de mauvais fond et ne cherche pas vraiment à nuire à son entourage. Il fait toujours en sorte de pouvoir avoir de bonne relation avec son entourage et il sait qu’il ce doit d’inspiré le respect. Non pas que pour lui-même, mais aussi pour le corps de nécromancien dont-il a le contrôle.
    Malgré tout, il a tout de même un mauvais côté dont-il sait très bien jouer, puisque ce garçon est un manipulateur. Il l’utilise souvent pour obtenir ce qu’il souhaite, cela lui facilite quelque peu les choses. D’une certaine façon, on peut dire qu’il n’hésite pas à manipuler son entourage constamment, justement pour qu’ils ne comprennent pas quel genre de personne il est. Il manipule aussi ses ennemis dans le cadre de combat ou bien d’autre chose, pour qu’ils agissent de façons irréfléchies ou qu’ils aillent dans le sens qu’il souhaite. Il y a bien des raisons pour manipulé une personne et il les connaît tous, ce qui peut le rendre assez dangereux. Il n’est pas du genre paresseux, c’est un côté de lui qu’on ne risque pas de voir, car il n’aime pas l’idée de ne rien faire. Que ce sois professionnellement ou privée, il fait toujours quelques choses, même si sa n’a pas vraiment d’intérêt, même si sa revient juste à tuer le temps.

    On peut dire que c’est un personnage qui est confiant envers lui-même, il est sur de lui et de ses capacité, il sait ce qu’il vaut et on ne peut lui en faire douter. Il a en quelque sorte, une personnalité inébranlable et il ne se laisse pas avoir par une quelconque manipulation externe. Il ne s’emporte que rarement, si ce n’est pas du tout, car le cas contraire, cela l’emmènerai à sa perte qu’il ne veuille ou non. Perdre le contrôle à ses yeux est en sois un forme de défaite, cela ne mène à rien d’autre qu’à la défaite sur son esprit.
    C’est un magnifique acteur, quand il s’agit de caché ses réelles intentions et aussi de caché ce qu’il est, sa vrai personnalité. Il arbore des fois un personnage ou un autre, changeant sa personnalité pour pouvoir manipulé son entourage et caché le genre de personne qu’il est. Malgré ça, il ressent tout de même un profond respect pour des personne comme le Capitaine commandant, ce qui ce fait rare dans son petit monde. Même, quand il le peu il agit normalement avec lui, car il le considère comme son égal, même si cela ne concerne uniquement qu’au point de vue de la hiérarchie. Il considère tout autre capitaine aussi comme des personne qu’il ce doit de respecter, mais au rand jamais il ne se révélerait auprès d’eux.
    Il a quand même un vice, qu’il ne peu pas retenir malgré quelques efforts, mais qui lui permet de fonctionner pendant des heures sans même dormir. C’est la nourriture, qu’il prend un mal un plaisirs à dévoré de toutes les façons qui sois. Il apprécie surtout les sucreries et n’est jamais contre le fait de devoir essayer d’autre spécialité, quel qu’il soit. Il ne s’en cache pas bien sûr et se fiche bien de ce que l’on pourrait dire de lui sur ce genre de chose.

Pour les personnages inventés
Votre Histoire


Certaine partie dans l’histoire on été retiré volontairement, comme l’époque ou il a reçu son Bankai pour pouvoir l’inclure dans des rp, en tant que flashback. Puis, cela me permettait de raccourcir l’histoire qui devenait un peu trop long. (Difficile de transcrire 250 années de la vie d’un shinigami en essayant de faire court.)

    C’était un peu confus, il ne se passait rien dans ma tête à ce moment là, j’avais l’impression d’être perdu et sans peine. Mon corps était léger, la pression qu’avait le sol sur moi semblait presque être disparue, c’était faible, mais je le ressentais.
    C’était la deuxième fois que j’avais ce sentiment, mais la première fois, ce n’était pas dans ces terres qui avaient tout l’air d’être un désert sans fin. Il avait été dans une forêt de la métropole si bien connue, ayant pour arbre des édifices faite de béton et de bien d’autres matières. C’est en ce même jour, qu’il avait été amené dans cet endroit, décidément il n’avait pas eu le temps de voyagé un petit peu, de laissé son esprit vagabonder dans cet endroit qu’il ne connaissait pas. C’était un étrange personnage, vêtu d’un kimono de couleur noir qui l’avait aidé à rejoindre cet autre désert qui ressemblait plus à un bidonville qu’autre chose. Je ne me souvenais plus de l’état dans laquelle je m’étais trouvé quand il apposa son sabre sur mon front, pourtant j’avais eu l’impression d’avoir été dans une béatitude. Maintenant, j’avais l’impression d’être perdu dans un endroit ou je n’étais pas destiné à être, peut être était-ce seulement une impression de dernière minute qui allait me quitter. Je regardais autour de moi et je vis quelques personnes et un peu plus, l’endroit ce bondait quelque peu pour une raison qui me semblait inconnu.
    Je fus rapidement accueilli par l’une de ces personnes dont je n’oublierais jamais le visage. C’était une femme d’âge mur, une femme dont beaucoup d’homme aurait souhaité la rencontre, mais elle faisait preuve d’un esprit sans faille. Son regard perçant me paralysa quelques seconde, avant que je n’eu le courage de tendre la main, pour qu’elle puisse m’aider à me relever. Mon regard ne quitta pas le sien, tandis que je me relevais peu à peu, je ressentais un frisson qui parcourait mon dos. Je ne ressentais pas de la peur, ni même de la crainte envers cette personne, mais dans mon cœur… Non pas ce que l’on aurait pus appeler de l’amour, c’était plus fort que ça, puisque j’étais fasciné par cette personne, sa naissait en moi. Je n’avais jamais ressentis ça, du moins je le pensais, mais je n’en savais rien du tout, après tout j’étais loin d’être…

    Ce regard perçant, j’avais commencé à m’y habituer depuis toutes ces années. Elle m’avait pris sous son aile, comme elle l’avait déjà fait pour de nombreuses personnes. L’homme avec qui elle partageait sa vie était là, tandis qu’il y avait aussi trois enfants qui semblaient dépendre de sa simple présence. N’étais-je pas pareil à la base ? Je dépendais de cette famille former sur le tat et sur les années, tandis que je ne faisais que les aider pour les diverses tâches ménagère. Combien de temps cela allait-il bien pouvoir durée ? Je ne pouvais même pas répondre à cette question… je savais juste que rien n’allais durée éternellement, c’était ainsi, que je le veuille ou non.
    Je me passionnais à regarder cette femme, j’étais comme une boite vide qui se remplissait de diverse sentiment en la regardant. Ma fascination était justifier, surtout qu’elle était une des rares femmes à pratiquer ce que l’on aurait pus appeler le théâtre. Elle était une énigme, chaque regard posé sur elle était une question de plus qui trottait dans ma tête, pourtant je ne trouvais jamais de réponse. Je ne savais quoi lui dire la plupart du temps, donc je me contentais de me taire et de garder silence, malgré tout les mots qui désiraient traverser mes lèvres, telle une rivière. Je regardais quelquefois son compagnon qui semblait être tellement différent d’elle, je ne comprenais pas vraiment comment ils avaient finis par être ensemble. Avait-elle voulu une compagnie quelconque et elle se serait éprise de lui avec le temps ? Ou avait-il quelque chose de spécial, avait-il compris qui elle était au plus profond de son âme ? Etait-il comme moi ?
    C’était un jour comme les autres, je faisais les diverses tâches qui m’avais été assigné dans la journée, tandis que je la regardais elle… Cette question me trottait dans la tête depuis un moment maintenant. C’était plus une demande qu’une question en fait, mais elles avaient un sens proche. Je m’approchais d’elle par derrière, je ne savais pas si elle avait déjà ressentis ma présence, mais je me contentais d’ouvrir les lèvres. Je ne connu aucune hésitation dans mon cœur à cet instant précis et fit sortir ces quelques mots.


    « Apprenez-moi… Je veux comprendre ce qu’est un acteur… »

    Je n’osais pas dire que je voulais lui ressembler, pourtant j’étais une personne sincère et assez franc dans l’ensemble, mais je la respectais trop pour lui donner cette raison qui aurait pus paraitre comme une insulte. C’est là que je compris que cette fascination que j’avais pour elle n’était rien d’autre que de l’admiration, fonder sur la personne qu’elle était et la façade qu’elle semblait revêtir chaque jours. Elle se releva sans surprise, comme si elle avait toujours su que j’étais derrière elle et se retourna. Je le ressentis de nouveau, ce frisson qui me parcourais l’échine à plusieurs reprise, j’eu même l’impression d’être poignarder au plus profond de mon âme. Elle me voyait bien plus que je ne pouvais la voir, ses yeux étaient plus profonds que je ne l’avais déjà perçue, mais tout s’estompa un instant, tandis que son visage arborait un petit sourire.

    « Si c’est ce que tu souhaite. »

    C’est ce que je souhaitais...


    Je ne sais plus combien de temps j’ai bien pus passer avec elle, durant ces entrainements à parfaire pour jeu d’acteur, tandis qu’on devait à côté s’atteler aux diverses tâche de la maison. De plus, un appétit naissait en moi, tant bien que mal, alors que pour la plupart, vivre en tant qu’âme leur suffisait. Je devais me sustenté d’une façon ou d’une autre, ce qui n’était pas facile dans ce petit monde. Rendre des services, c’était surement le meilleur moyen d’avoir ce que je désirais, alors que d’autre personne s’attelait à la tâche de façon moins… noble. C’était un trop grand mot, peut être n’aurais-je pas du l’utiliser dans un tel contexte.
    Chaque jour était un apprentissage de plus, en plus de devoir travailler mon rôle d’acteur, j’apprenais à comprendre les gens et mon entourage. Plus que je ne savais déjà faire, des détails me troublais quelquefois, mais j’apprenais à être inébranlable. Elle disait souvent que pour moi, sa ne revenait qu’à affuter une lame déjà forger. Que j’avais déjà ce qu’il fallait pour comprendre ces enseignements, mais qu’il me manquait la pratique. Bizarrement, plus j’apprenais avec elle, plus je la comprenais, elle se présentait peu à peu comme un livre qui gardait ses pages ouvertes, mais qui se refermait lorsqu’une page était lu. Elle devenait de moins en moins fascinante à force que le temps passait, ou c’était juste qu’à force d’expérience, mon cœur se fascinait moins pour ce que je pouvais comprendre.
    Je me souviens encore de ce jour ou j’aurais du me présenter comme chaque jour, devant elle pour suivre son enseignement, mais… Je n’y étais pas allé. C’était comme si je n’en ressentais plus le besoin, que je n’avais plus besoin d’elle… mais qu’en était-il réellement. Le soir, alors que je rentrais de nouveau dans cette petite maison modeste, je la regardais dans les yeux. Je ne détournais pas le regard et réussi à le maintenir, tandis qu’elle me lança ce regard qui semblais toujours aussi perçant qu’auparavant, pourtant… Aucun frisson ne me vint, je ne ressentis aucune fascination, mais je lui devais tout de même d’être sincère après tout ce temps.


    « Je ne veux plus venir au cour. »

    Elle me regarda et ne pus que me laisser voir un de ces sourires, comme elle avait tant l’habitude de me lancer. Sa main se leva peu à peu pour atteindre mon visage, je n’étais pas surpris sur l’instant et même les quelques mots qui suivirent ne pus m’atteindre comme cela l’aurait fait auparavant.

    « C’est que je t’ai tout appris, il ne tient qu’à toi maintenant d’affuter cette lame. Apprend de toi et des autres.»

    Affuter, un mot étrangement bien choisis, même si je ne l’appréciais pas tant que ça.
    Je la regardais une dernière fois et je ne pus que me dire que maintenant nous étions égaux, malgré le temps que cela m’avais pris. J’avais passé à peu prêt deux années avec elle et sa famille et je me disais à quel point j’avais été chanceux. Pourtant, rien n’avais changé, ma vie restais la même, mais j’avais tout de même une distraction de plus. Il m’arrivait quelques fois de participer à ces quelques spectacle que donnait la femme, c’était ma façon d’amélioré mon jeu, mais ce n’était pas tout. Il m’arrivait d’utiliser mon apprentissage sur les gens qui m’entouraient, quel qu’il soit. C’est à cette époque que je me suis mit à arboré ce sourire constant, qui n’était rien d’autre qu’une façade, mais je l’appréciais. Il me facilitait les rencontre et encore plus mon insertion, les gens ne se doutaient pas que ce n’était la plupart du temps qu’un mensonge et que chaque soir en rentrant chez moi, je reprenais un visage neutre…


    Il se passa un peu plus de trois années avant que je ne décide de vraiment quitter cette maison. Il n’y eu aucun pleure ni de regret, juste des bonne chances et bien d’autre mots encore. Je ne la fixai pas comme la première fois ou je l’avais rencontré et je parti sans demandé mon dû, même si c’est moi qui lui devait quelque chose.
    A force de marché, je m’approchais des zones les plus sécurisé du Rukongai, elles semblaient aussi plus peuplé et bien plus agréable à voir. Les maisons, bien qu’elles se collaient d’un peu trop prêt, semblait être d’une architecture plus agréable, on voyait vraiment une différence de classe social. Elle n’était pas si grande, mais restait flagrante. Je savais aussi que ma faim, mon envie de me sustenté était de plus en plus grande. Sans m’en rendre compte, ce qui était une fin minime se transforma peu à peu en une faim des plus normal, mais inhabituel pour une âme. Il m’était devenue en quelque sorte, difficile de me nourrir convenablement, mais j’essayais de m’en sortir, tant bien que mal. C’est juste que rendre des services n’étais pas suffisant, je devais en faire plus.
    C’était surement l’une des mes plus belle années, puisque j’ai surement été aimé par beaucoup de monde. Je me souviens avoir rejoins à cette époque, un groupe de théâtres, un des rares qu’il était possible de trouver dans le Rukongai. J’avais su les surprendre par mon jeu d’acteur et mon insertion des rôles qu’ils me donnaient. Dans le groupe, il y avait d’abord une femme d’âge mur qui m’avait rappelé mon ancienne maitresse de maison, elles avaient tout les deux le même regard. C’était elle qui dirigeait le groupe, devant quelquefois faire preuve d’une autorité à toute épreuve, elle était doué à pour ça. C’était une femme désiré, mais qui savait aisément repoussé les hommes qui ne l’intéressait pas. Juste derrière elle, il y avait un acteur comme on en voyait peu. Il était vraiment grand et physique il s’imposait de tel manière qu’on n’aurait pus lui faire face. Il était doué dans les rôles de guerrier ou tout ce qui s’en approchais, mais quelquefois il lui arrivait de jouer d’autres rôles plus passifs, comme celui d’un père. C’était un homme sympathique, même si son visage devait faire peur à la plupart des enfants qui ne le connaissait pas. Pourtant c’était un papa poule qui prenait toujours soin de son entourage, surtout des membres du groupe. Il avait tout de même la mauvaise habitude de boire, il appréciait beaucoup le saké avec lequel il arrivait souvent de se saouler comme il le pouvait. C’est surement par sa faute que j’ai commencé à apprécié cette boisson que je n’avais pas encore pus gouter. Il y avait aussi un autre homme d’un corps plutôt mince, il me ressemblait un peu et il lui arrivait souvent de partager le verre avec l’homme bourru. Il était ce que l’on aurait pus appeler un homme narcissique… de la pire espèce, mais il avait souvent le mot pour rire, c’est ce qui le rendait si agréable. Il y avait d’autre personnes qui venaient de temps en temps aider le groupe, que ce sois pour les rôles secondaires ou pour installer le peu de matériel dont nous disposions.
    Presque tous les deux soirs, si ce n’était pas chacune d’elle, nous donnions un spectacle pour les gens qui se trouvaient dans le Rukongai, généralement c’était des gens du quartier ou des zônes avoisinant. Ces spectacle en plus des diverses services rendu me permettait de me sustenté correctement, ce qui n’était pas facile à part en volant ou en étant un shinigami. Shinigami… ce mot me rappelait sans cesse la personne que j’avais rencontrée ce jour là et qui m’avait envoyé ici. Si j’avais pus, je l’aurais remercié, mais en ce jour nouveau, je ne comprenais rien du tout. Un jour, on me fit la remarque tandis que je mangeais, qui était que pour une âme, manger autant n’était qu’un signe distinct qu’un potentiel se trouvait en moi et ne demandait qu’à sortir et évoluer. Il était un shinigami lui aussi qui venait souvent manger au même endroit que moi. Un jeune homme sympathique qui ne voulait que du bien à son entourage, cachant une douleur qu’il avait au plus profond de son cœur. Je ne lui fis pas la remarque pour ne pas le blesser, mais je l’avais compris au premier regard. Ce n’est que quelques jours plus tard que le jeune homme m’apporta un papier comportant plusieurs informations sur la façon de devenir un shinigami et d’autres informations. Je n’hésitais pas à lui poser diverse question sur le sujet, voulant en savoir autant que possible, car c’était un moyen pour moi de vivre correctement ma vie, même si cela aurait voulu dire que j’aurais du abandonné plusieurs chose…



    Cela faisait bien maintenant deux ans qui était passé, tandis que j’avais revêtis l’habit noir que tout élève et shinigamis portaient. J’avais fait mon choix, parmi tant d’autre, pour des raisons plus qu’évidente… Il y en avait d’autre, mais je préférais les garder pour moi, après tout je ne suis aucunement obliger de tout communiquer. A cette époque là, en tant qu’élève j’apprenais des choses dont je n’aurais jamais cru l’existence. Le Kido, le Zanpakuto, les Hollow et bien d’autre chose dont le nom ne me disait rien jusqu’au jour ou ils m’arrivèrent aux oreilles. C’était un tout autre genre d’apprentissage que celui que j’avais eu, lorsque que j’étais avec elle, mais c’était tout aussi intéressant et cachais encore bien des secrets. J’excellais dans la recherche et tout ce qui concernait le reiatsu mais surtout dans l’utilisation des sorts de Kido. Le contrôle du reiatsu et bien d’autre chose qui se ramenait à ce genre d’enseignement. Je me sentais bien entourée, utilisant mes premiers enseignements pour pouvoir au mieux me rapprocher de mes camarades… c’était si facile. En tant que deuxième années, je m’en sortais plutôt bien, même si mon contrôle du sabre n’était pas des meilleurs. Du moins, c’était l’enseignement ou je m’en sortais le moins, bien que je comprenais la théorie, la pratique était tout autre.
    Je n’essayais pas particulièrement de me lié avec qui que ce sois, je me contentais simplement de participer, sans pour autant en faire plus. Cela suffisait pour les camarades de classes et pour lui-même qui se tuait dans la tâche de l’apprentissage. J’avais même commencé à apprendre des sorts hors de mon niveau à l’académie. En même temps, je feuilletais mes cours encore et toujours pour ne rien oublier, même l’assimilation était plutôt rapide. Il fallait l’avouer, les professeurs étaient plutôt stricts et j’étais dans la meilleure des classes, du moins quand nous étions arrivés la première fois, le professeur nous avait fait un spitch sur le fait que nous étions spéciaux et il avait continué son discours ennuyeux pendant un certains temps en nous expliquant ce qui allait nous attendre pendant les prochaines années. Beaucoup de chose selon ce qu’il avait dit et j’en étais ravis à vrai dire, c’était un voyage vers l’inconnu. Maintenant, je savais que ce qui m’avait été dit n’était pas totalement faux, mais je n’avais pas encore fait de projet d’avenir. C’était de belle années à vrai dire, j’ai pus apprendre énormément de chose, mais je regrettais les spectacles, car ce n’était pas pareil. Je me souviens tout de même de cette personne, un élève d’une autre classe qui semblait assez étrange. Il était juste derrière moi, mais il semblait distant, comme je l’aurais été si je n’avais pas été pris en main. Je n’ai jamais essayé de me lier avec lui, mais tout de même un jour je suis allé le voir, je voulais savoir comment il était et s’il se démarquait des autres ou si c’était une forme de timidité…



    Je me souviens encore de l’impression que j’avais eue ce jour là, de ce décor dénué de sens et surtout de cette discussion que j’avais eu.
    C’était dans le cadre de la quatrième année dans l’académie, je ne me souviens plus du contexte, ni même de ce qui m’a amené à le rencontré, c’était un peu trop flou dans ma tête. C’est juste, que j’aie l’impression d’être rentré chez moi, tout en ayant l’air perdu. J’observais ce décor sans sol, dans un ciel sombre, remplis de nuage noir orageux, mais il n’y avait aucune pluie, aucun désordre. Malgré la noirceur de ce décors, il n’était aucunement désagréable et je m’y plaisais, pourtant j’avais toujours été friand des cieux ensoleillé, d’un bleu bien moins profond que celui de mes yeux, mais suffisamment vaste pour me surprendre. Il n’y avait pas de vent dans ce ciel, je pouvais me mouvoir tandis qu’il n’y avait qu’un vide sans fin sous mes pieds. Il ne semblait pas y avoir de terre, c’était comme si je m’étais perdu dans une autre dimension. Un sentiment d’inquiétude naissait en moi tant bien que mal, quelque chose que je n’avais pas ressentis depuis un certain temps. Peut être même ne l’avait-je jamais ressentis malgré moi, mes encontre diverses avaient eu le mérite de me confronter à bien des choses, mais pas à l’inquiétude et l’impression d’être constamment épié. J’avançais tant bien que mal, alors qu’aucun chemin ne s’ouvrait devant moi, qu’est ce que cela voulait bien dire ? Il ne me laissa pas longtemps dans l’attente, il se contentait de m’épier, mais il savait bien que cela ne menait à rien. Il me connaissait déjà, ce depuis que je suis une âme, si ce n’est pas depuis que je suis humain. Je n’avais pas la réponse et seul lui la connaissait, mais qu’allait-il bien me vouloir.
    Ce fut soudain, la façon ou il apparut, alors que j’avais pris la peine d’observer les alentours, croyant qu’il n’y avait vraiment personne. C’était-il engouffrer dans les limites des cieux de ce monde ? Ou les nuages était-il son repère, ou lui dragon plein de fierté se cachait pour observer la seule créature dont il était l’esclave ou le partenaire, tout dépendait de sa façon de voir les choses, mais la seconde options restait ce qu’il y avait de plus enviable pour notre coopération. Il avait l’air d’un grand dragon qui n’avait ni aile, ni patte, il avait un corps comme celui d’un serpent, comme les dragons décrit au japon… Sont grand corps me surprenait, il était tellement imposant que je ne pouvais pas évaluer sa taille, mais cela était aussi du au fait que j’étais trop stupéfait. Sont corps était d’un blanc brillant, comme s’il avait été fait de pierre précieuse. Pour ce qui était de sa pilosité, je pouvais discerner cette couleur verte qui ressortait dans les reflets de son corps. C’était similaire au reflet que l’on pouvait distinguer sur les cheveux et je compris rapidement que nous étions semblables sur certain point. Ses cornes étaient plutôt longue et pointu au bout… elles étaient si épaisse que s’il avait essayé de m’embrocher avec, mon corps aurait finis couper en deux. Il me fascinait en quelques sorte, cette créature que je n’avais jamais vu, c’était présenter à moi comme si ne rien était. Au fur et à mesure que les secondes passèrent, je me rendais bien compte de la situation dans laquelle je me trouvais et souriait comme je l’avais toujours fait. De sa gueule, je pouvais entendre comme un grognement, comme si une voix s’apprêtait à s’élever et à faire trembler la terre.


    « Tssss. Ce sourire ne te sert à rien devant moi. »

    Ce n’était pas totalement faux, puisqu’il était une partie de moi, il savait surement à quoi je pouvais bien penser. Il devait connaitre chaque partie qui me faisait, mais qu’attendait-il exactement ? Alors que j’allais ouvrir mes lèvres, pour pouvoir lui parler et lui demander son nom, un rugissement se fit entendre avant qu’il ne reprenne la parole.

    « Ecoute bien mon nom, car je ne te le dirais pas deux fois ! »

    Sa voix vibrait dans mon âme, je la sentais me parcourir, tandis que j’entendais ses dernières paroles qui suivirent son nom…


    Depuis ce jour, j’avais fait parler de moi avec l’obtention de mon Zanpakuto. Quelque chose qui survenait pas très souvent à ce niveau d’étude, mais quelquefois il y avait quelques exception. C’est à cette époque que je fis un choix tournant pour ma vie, qui allait décider de mon avenir et faire de moi ce que je suis maintenant.
    C’était un jour comme les autres ou j’ai rencontré cette personne qui me semblait plus étrange que terrifiante. Je venais de terminer les cours comme à mon habitude, mais je trainais un peu dans les alentours, dans l’idée de me ressourcé au soleil. Il ne fallu que très peu de temps, avant que je ne sois déranger par une ombre des plus désagréable. C’est là qu’il c’est présenter à moi, cet homme qui ne semblait pas plus grand que moi, si ce n’était plus petit, mais je ne pus m’empêcher de me redresser. Je n’eu le temps d’engager la discussion, qu’il prit d’un ton neutre la parole.


    « Vous êtes bien Yamada Shiina ? »

    L’envie de l’ignoré me vint en tête, mais je ne pus m’empêcher de lui répondre positivement. Devant ma curiosité, je n’étais presque rien, je ne résistais pas à l’envie d’en savoir plus sur ce qui m’entourait et ce qui pouvait bien dérange mon quotidien monotone. Son visage m’était inconnu, mais j’avais vite compris qu’il avait quelque chose à me proposé, même si l’idée était assez vague dans ma tête. Il sorti un papier de l’un de ses poches, que je lui pris calmement, tandis que j’avais envie de le lui arracher des mains.

    « Nous avons besoin de gens aussi doué que vous chez les Kidoshu »

    Il partie sans demander son due, sans même attendre une quelconque réponse de ma part. Je ne le montrais pas, mais j’étais surpris qu’une division aussi mystérieuse vienne à moi. Rare était les informations qui filtraient dans cette unité, elles étaient même inexistante. Cette division appelait à la spéculation et pourtant personne n’était vraiment sur de ce qui s’y passa. Pourtant, aujourd’hui j’avais la chance d’y entrée et je n’allais surement pas me retenir, même si…


    Cela faisait maintenant quelques années que je partageais la vie avec les nécromanciens. L’ambiance y était plutôt calme à vrai dire, peut être même un peu trop sombre pour moi, mais j’avais accès a des endroits que je ne me serais jamais imaginer sur ces terres.
    Je ne m’étais attacher à personne ne particulier, comme je l’avais toujours fait. Je prenais tout de même la peine de participer aux diverses discussion qui me semblait quelquefois inutile, mais c’était plus facile que je rester reclus dans mon coin. Au fur et à mesure que le temps passait, j’évoluais dans l’utilisation de mes techniques Kido. Je participais aussi à des missions dont les souvenir étaient plutôt flous. A vrai dire, nous n’avions pas vraiment le temps de nous ennuyer dans cette division et dans les rares cas ou je me retrouvais dans un moment de pause, j’allais sois rejoindre certain nécromancien pour discuter ou je sortais… Je m’étais peu à peu habituer à l’ambiance qui pesait sur cette division et à cette tenue que je n’aimais aucunement. L’étude du Kido était ce qui me passionnait le plus, sa forme, son énergie, sa puissance, ses variantes, il y avait tellement de chose à prendre en compte pour pouvoir utiliser un Kido et le plus dur restait la création de celui-ci. Il arrivait quelquefois que son temps libre soit utilisé à la création de techniques. Tant bien que mal, la sueur lui montait au front à chaque fois, mais il s’acharnait à comprendre le fonctionnement et à l’exploiter. Les jours et les semaines passèrent, tandis que je continuais mes recherches, du moins quand le travail me le permettait, mais… Alors que je continuais mes recherches, je me lançais dans l’exécution du sort, que je n’avais pas pris la peine d’essayer. Je me concentrais, mettait la dose de Reiatsu que j’avais jugé bon, mais le résultat voulu n’était pas parfait… Le résultat était partiel et n’avais pas le quart de ce que j’attendais du résultat final. Néanmoins, je ne me relâchais pas et continuait sans relâche d’étudier ce sort et de le tester autant qu’il m’était possible de le faire.
    C’est à cette époque que se passa mon ascension au grade de cinquième siège de la division Kidoshu, après avoir prouver ma force et aussi mon ingéniosité… A vrai dire, sur l’instant je ne m’étais pas vraiment intéresser au sujet, mais il fallait continuer…



    Ce n’était que quelques mois après cet incident, un incident qui avait surement jeté la honte sur l’unité entière, mais surtout qui nous avait privées de l’une des deux formes d’autorité dont disposaient les nécromanciens. Temporairement, nous étions sous le contrôle total de la chambre des 46, qui devait en avoir bien marre de devoir nous géré alors que ce n’était aucunement leurs rôles. Depuis tout ce temps, j’était passé troisième siège en évoluant la recherche de sort Kido, dont j’étais devenue quelque spécialiste. C’était presque devenu un travail à temps complet, surtout depuis que nous n’étions plus autant surveiller.
    A cette époque, je me souviens avoir reçu une lettre qui m’avait en quelque sorte ravis et déplus. Le sentiment que j’avais ressentis en la lisant était à vrai dire indescriptible, puisque c’était un ersatz de différent sentiment que je n’aimais pas ressentir, même si c’était profondément ancré en moi. Je n’avais pas pus la refuser, car sa m’aurait permis d’atteindre le bout de mes ambitions. Ce n’est que le lendemain que je du rejoindre cette endroit que je n’avais pas vu d’aussi prêt. Garder gracieusement, tout autant surveiller et je n’imaginais même pas l’existence des pièges qui s’y trouvaient. Je me contentais de suivre le chemin qui se trouvait en face de moi avant de donner cette fameuse lettre qui m’avait été donné. C’est à ce moment précis que je vis pour la première fois l’intérieur de ce bâtiment qui semblait être plein de secret… Si je l’avais pus, j’aurais laissé ma curiosité agir comme je le fis tellement de fois, mais cette fois ci, le prix aurait été trop grand.
    J’étais au milieu des 46 membres de la chambre. Chacun avait le visage masqué pour qu’on ne puisse savoir qui était présent. Il y avait aussi six hommes qui se trouvaient au dessus des autres, surement les juges dont j’avais entendue parler lors des cours à l’académie. Je me surprenais encore à me rappeler de chaque détail qui avait été énuméré sur leur rôle et leur pouvoir sur la Soul society. Malgré leur faiblesse flagrante, le pouvoir qu’ils avaient sur les personnes qui se trouvaient en dehors de ce bâtiment était énorme… il aurait presque pus me faire frémir, mais je me devais de rester de marbre devant eux. Rien ne m’avais préparé à cette rencontre, je ne m’attendais vraiment pas à ce que mon test pour devenir le capitaine des Kidoshu se passe devant eux. Le premier à prendre la parole fut un des juges qui se trouvait sur la droite. Sa voix résonnait dans la pièce et dans les oreilles, s’en était presque inquiétant… Dans les plus brefs délais, je me mis de telles façons qu’un genou et un pied repose à terre. Je penchais mon corps et baissait la tête pour leur montré le respect auxquels ils devaient surement s’attendre.


    « Yamada Shiina. Troisième siège de la division du Kido. »

    Je n’avais pas besoin d’en dire plus pour m’identifier comme il m’avait été demandé. Il m’aura fallu un peu plus de trois minutes, avant que je ne puisse me relever, tandis qu’ils marmonnaient des choses que je n’écoutais même pas, trop concentré sur ce qui allait m’arrivé. Je ne connaissais ni l’étendu du test qui allait m’attendre, ni les questions auxquelles j’allais devoir répondre.
    A ma première surprise, après ce qu’il était arrivé il y a quelques mois, les premières questions portais sur moi-même, comme s’ils cherchaient à me sonder. Surement craignaient-ils qu’une autre trahison se produise dans le temps. Je répondais aisément aux questions qui m’étaient posé, même si cela revenait à leur mentir sur ma vraie personnalité, comme je l’avais toujours fait. J’avais l’impression que chacune de mes réponses tournais en ma faveur, même si leurs regards étaient pointés sur moi. Au fur et à mesure que le temps passait, je me sentais plus à l’aise, content de voir que ce n’était pas aussi difficile que je ne l’aurais pensé. Le test suivant se portait sur mes capacités au combat concernant le Kido, mais pas uniquement. Il était vrai que depuis quelques années, pas suffisament pour avoir su le maitrisé complètement, j’avais été capable de faire appel à mon Bankai. Notre entente était des meilleurs, malgré sa personnalité troublante et pourtant nous nous complétions. Lors du test, j’avais du montré certaine des techniques que j’avais inventé durant ces quelques années. Certaines d’entre elle avaient su les surprendre, mais ce n’était pas chose aisé. De plus, autant leurs voix résonnaient dans la pièce, autant leurs cœurs se dévoilaient devant moi, même si les informations étaient infimes. Je ne sais pas combien de temps j’ai du passé dans cet endroit, je n’avais pas le temps de me concentré sur des détails aussi futile, mais quand tout ceci fut finit, je sais que j’étais quelque peu soulager. Bien que mon sourire fut léger, j’étais content quand après une bonne dizaine de minutes, ils annoncèrent leurs choix par rapport à ascension dans la hiérarchie. Ce fut un oui à l’unanimité, quelque peu surprenant, mais cela ne pouvait que me ravir après tout.
    Ce n’est que plusieurs jours après que je pris officiellement mon post en tant que capitaine de la division des nécromanciens, mais je savais une chose. Ça n’allait surement pas être de tout repos pour moi...



    J’ai passé pas mal d’années à faire des recherche et à amélioré mes techniques, mais gérer tout ce qui avait un rapport avec les nécromanciens n’était pas une chose aisé. La division ne connus plus de drame qui ressemblait à celui qu’il eu il y a environs cents ans. Elle fut écartée de bien des affaires lié à la soul society, surtout celle qui concernait la trahison de plusieurs capitaines. C’était sur ordre de la chambre des 46, les mêmes hommes qui m’avaient fait passé ces testes il y a encore un certain temps. C’était sans ce douté que nous étions manipulés, mais maintenant c’est passé. Les évènements s’enchainèrent un par un, si ce n’était plus. Bien sûr, notre division était encore écarter de cette bataille, même si l’humiliation passé c’était révéler être un mensonge. Quand tout ceci fut enfin terminé, c’était un grand moment de calme qui s’installa à la Soul Society. Chacune des divisions du Seireitei reprirent leurs activités, tandis que pour nous nécromancien, presque rien n’avait changé. J’explorais toujours les nombreuses possibilités que m’offrait le Kido, essayant de créer des techniques qui dépassaient celle de mes prédécesseurs.
    Aujourd’hui, je regarde le ciel bleu quand je le peux, j’observe le Seireitei d’en haut, tandis qu’il m’arrive souvent de vouloir me mélanger avec eux, curieux comme je suis. Un jour, on me fit la remarque sur ma présence au sein du Seireitei. Elle était plus fréquente que mon prédécesseur, mais cela n’était qu’une histoire de mentalité.



Vous

    Je vous ai connus via le top forum bleach, c'est facile quand vous êtes dans les trois premiers.


Dernière édition par Yamada Shiina le Mer 31 Aoû - 10:57, édité 1 fois
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Yamada Shiina Yamada Shiina EmptyMar 30 Aoû - 23:58

Voila, je pense que c'est bon.
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Yamada Shiina Yamada Shiina EmptyMer 31 Aoû - 10:29

Histoire intéressante malgré quelques petites fautes mais vu l'ampleur du texte ça parait bien insignifiant . Je te valide donc en tant que capitaine de la division du Kido .
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MessageSujet: Re: Yamada Shiina Yamada Shiina Empty

Yamada Shiina

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