"I'm the Thunder"

Raiken est quelqu'un de naturellement calme, posé et sans dérangement moral. Il prend beaucoup de choses "cool" par exemple même si il perd un combat en se prenant une volée il ne dramatise jamais et préfère en rigoler (ce qu'il fait tout le temps car il se dit que la vie est ainsi et que c'est pas la fin du monde...). Il est souvent d'une humeur que la plupart des gens ne savent pas. Il est plutôt neutre mais il à des moments ou il est de très bonne humeur et d'autres l'inverse, il peut changer très subitement de comportement ce qui fait de lui quelqu'un d'imprévisible (en plus de son nombre de personnalités incalculable). Il est quelqu'un de très ouvert et ne souhaite de malheur à personne sauf celles qui font du mal à un grand nombre de personnes de bon cœur (comme le diable, qu'elles éprouvent un plaisir de faire du mal. Des personnes mauvaises en gros). Il a souvent le sourire et ne cherche de problème avec personne, il évite tout ce qu'il peut,ce qui ne veut pas dire qu'il se laisse facilement intimider ou qu'il est un larbin car à ce moment là il change subitement pour devenir très actif car la plupart du temps il ne bouge pas souvent le petit doigt sauf quand il en est obligé ou qu'il trouve un intérêt particulier. Il surprend souvent par ses coups de génie, ses bonnes idées, son ingéniosité. Il est quelqu'un d'intelligent et malin mais cela ne se voit pas au premier abord car par exemple au lycée il se contente de notes correctes et parfois se donne un peu la peine de travailler car il lui arrive d'aimer travailler car ça lui permet de devenir un peu plus cultivé, d'avoir une plus grande et précise vision des choses,du monde qui l'entour. Ses notes ne sont pas extraordinaires puisqu'elles avoisinent entre 11 et 15/20. Il à la capacité de comprendre plus rapidement que les autres mais que dans les choses où il est intéressé car par exemple il n'aime plus les mathématiques depuis leur certaine inutilité pour le futur et ne s'y consacre pas des masses en cours où il ne bouge presque même pas même s'il révise et revoit ses leçons pendant un très long moment quand il lui arrive d'avoir un peu "zapper" le cours... Il est très malin et c'est fin stratège, il peut bluffer et/ou piéger au premier plan mais faisant autre une chose/un autre piège derrière en laissant très peu même aucune solution.

Mais simplement par amusement car il n'est pas d'un naturel de ce genre là. Il est très sérieux dans une tâche qu'il aime faire et qui l'intéresse et il est impossible à déconcentrer lorsqu'il à une cible/un but précis. Il est pourvu d'une résistance mentale à toute épreuves et n'est jamais vraiment stresser, il se procure de l'adrénaline parfois car il ne peut pas en vivre sans (comme tout le monde...). Malgré son envie d'éviter les problèmes, de se mettre un peu à l'écart parfois il lui en arrive encore assez souvent ce qui ne le plait pas trop, et à chaque période de calme/prospérité il se fait couper ou bien il trouve que la période était bien trop courte, il n'en profite pas entièrement même si énormément... Il n'a pas vraiment d'esprit de compétition naturel mais parfois se fixe des objectifs ou trouve des rivaux pour passer le temps ou bien atteindre quelque chose de précis mais complexe qu'il ne peut pas souvent expliquer. Il a un peu comme rival, un Shinigami qu'il n'a réussit à battre en combat d'entrainement qu'une seule fois alors que celui-ci était légèrement désavantagé suite à un évènement.

"Your Power is my victory"

Raiken Ikazu, un être un brin remarquable. Forgé par un passé triste et émouvant, son visage n’en reste pourtant qu’assez doux. Les traits fins qui figurent sur son visage lui donnent un côté assez efféminé, mais les perpétuelles grimaces ou coups de gueules de l’énergumène prouvent qu’au contraire, du caractère, il n’en manque pas. Les cheveux en bataille du jeune homme vrillent tous vers l'avant, si bien que sa coupe de cheveux m’est facilement présumable en un tas d’épines blondes qui ont été coiffés vers l'avant, et même si cela avait été le cas, ils auraient tout de suite été décoiffés tellement l’action est le quotidien du jeune homme. Ajoutons à cela de beaux yeux d’un bleu azur dont les sourcils sont souvent serrés vous rappellent à qui vous avez affaire... Avec comme autre détail, on peut rajouter bien évidemment à Ikazu, son badge de Shinigami qu’il arbore fièrement. En effet, le blondinet est assez fier de la division auquel il appartient, bien qu’il ne cesse plus d’apprendre les atrocités qu’as connu cette division dans le passé. Ce badge a entouré le manche de sa tenue de Shinigami, et est fait d’un long tissu blanc que l’énergumène imprévisible noue autour du bras, et dont les bouts tombent au moins jusqu’au bassin tellement il y reste de longueur. Depuis son entraînement intensif, son badge a changé de bras.

Désormais, nous allons parler du style vestimentaire qu’il arbore quand il n'est pas en tenue de Shinigami. Ikazu porte un chemise bûcheronne. Un basique selon lui que tous les hommes devrait porter ou avoir dans sa garde-robe. Il a porte déboutonné. En dessous, il porte un tee-shirt blanc avec des graphiques et qui sont a manche courte. Le grand blondinet - puisqu'il mesure un mètre quatre-vingt trois virgule cinq pour soixante neuf kilogrammes - porte souvent un Jean's noir comme pantalon. tout comme le reste de ces vêtements, facile à trouver. Il s'agit d'un skinny droit donc pas trop moulant. L'importance du Jean's noir est qu'il met beaucoup plus en valeur les éléments principaux, soit la chemise et le tee-shirt et il permet de mettre ses chaussures colorés sans faire dépareiller. Quand il fait chaud, il peut choisir de mettre des lunettes de soleil.

BACKGROUND I : Un enfant, une vie...

Début, actuel, et fin…
Tous sont des mots qui définissent le temps dans son édifice harmonieux à travers les cordes d’argents de la harpe de la vie. Début de tout, il définit l’éclosion d’une lueur faible et hurlante au cœur d’un linceul transparent d’innocence, bouclier pur et isolé face aux ténèbres abondantes de l’éternel. Actuel, démon sans cœur d’une vie qui s’écoule au fil de ses actions et de ses choix, et la fin de toute chose, la mort qui telle l’empreinte d’un fléau sème carnage et désespoir sur son passage, rompant avec allégresse les fils du destin. Bien que ces mots soient la définition même du cycle de la vie, l’éternité réunit les 3 en son sein pour former le cœur même de la reconnaissance infinie.

Mais éternel ou éphémère, aussi grand ou insignifiant soit la leur de vie qui pétrie de crainte naît en ce monde, tout commence par la naissance, tout, dieu ou mortel. Transcendant la chaire et l’esprit, c’est accompagné des hurlements de douleurs entrecoupés d’une joie singulière, que la vie éclot lors du rite de la naissance, parfaite symbiose de lumière et de ténèbres, dans la joie inébranlable de la vie donnée, et la souffrance mauvaise de cette action. C’est par une nuit sombre, au ciel recouvert d’un voile épais de ténèbres, où seule la lumière de la lune daignait bénir cet instinct particulier, que la naissance de l'enfant eut lieu, dans un concert de hurlements douloureux… Après tant d’efforts et de souffrance, l’enfant était enfin née… et c’est ici que commençait déjà les infortunes de l’enfant nouveau née, semblant mort née, le corps d’une maigreur à en faire pâlir un mort… Qui pourrait penser qu’un enfant dont la naissance avait commencée par sa propre mort pourrait par la suite devenir un dieu humain ? Nul ne pourrait le deviner, mais les dieux qu’il allait défier dans le futur avait décidé de lui apporter leur clémence, car à peine une minute plus tard, après un fort massage, le bébé poussait son premier hurlement. Le pêcheur divin était né. Après l’avoir prit dans ses bras, la mère soulagée de cet heureux miracle pouvait enfin poser ses yeux sur son enfant… Des yeux pétris des larmes de la joie renouvelée au sein de la terrible douleur qu’elle avait éprouvée. Elle put alors constater avec une certaine surprise que les yeux de son enfant étaient d’un bleu étrange, un bleu aux reflets sanglants, d’un rouge aussi écarlate que le sang baigné dans les ténèbres salutaires de la mort à son apogée, perdue dans les champs de batailles de la haine et de la folie humaine. Elle passa une main tremblante et délicate sur le crâne de son enfant qui n’était couvert que de quelques cheveux d’un blond à la limite du blanc, mais dont certains reflets leurs donnaient l’impression d’être d’un vert d’une clarté affolante.

Se baissant sur sa femme, le père la serra dans ses bras, contemplant avec joie son enfant… On aurait dit le tableau d’une famille parfaite, dans un monde parfait, mais la justice divine envers les mortels étaient tout autre, et les ténèbres de la vie reprendraient bientôt leur cours dans le concert alarmant des hurlements désincarnés des pêchés humains dans leurs plus terrible appareil. Après quelques minutes à se tenir immobile, la mère endormie avec son enfant posé contre son cœur, le mari se releva, prenant avec délicatesse l’enfant des bras de sa mère, pour l’emmener voir ce qui allait être son nouveau monde, celui de sa vie et de sa destinée. Cet enfant s'appela Ikazu, fils de Nana et Toshiro Raiken.

BACKGROUND II : Ma vie avant ma mort...

Sept ans se sont écoulés depuis la naissance de Ikazu, devenu un jeune garçon ordinaire loin du monde shinobi caché par les mensonges de sa mère. Ikazu était un enfant exemplaire, intelligent et souriant, il devint rapidement l'enfant aimé de son voisinage. C'est d'ailleurs durant une partie de cache-cache que le jeune garçon s'aventura en dehors de la zone limite de déplacement que sa mère lui avait désigné, pour rejoindre le centre-ville de Karakura et ses rues marchandes. C'est à ce moment-là que le futur Shinigami fut confronté à la réalité, à une autre facette de la ville qu'il n'avait jamais vu mais qu'il appréciait déjà. Une population qu'il n'avait jamais vu auparavant, des boutiques bien plus intéressantes et surtout des autres adultes. Il ne s'y attardait pas longtemps mais s'y rendait régulièrement pendant des petits laps de temps durant lesquels il savait que sa mère ne le repèrerait pas. Mais hélas, son secret, il ne pouvait le cacher éternellement tout comme la mère ne le pouvait après tant d'années. Ce sont deux années plus tard que l'heure des explications sonna son glas. Ikazu, bien que très jeune, demanda des explications devant une mère muette face à ses émotions mais qui finit par cracher le morceau. Cette discussion amena Ikazu à la conclusion que devenir un grand était l'un de ses plus grands rêves. Une ascension vers son rêve débuta alors le jour où il fut inscrit au collège.

L'enfant essayait de faire partager sa joie avec sa mère afin qu'elle soit fière de lui mais hélas, la tristesse était toujours présente chez elle et elle eut raison d'elle. Oui, sa mère décéda peu avant le jour de ses treize ans. Il allait s'en dire que Ikazu et son moral allait prendre un coup sur la tête refroidit par un vent de tristesse et de désarroi. C'était un quotidien auquel le jeune garçon commençait à prendre habitude cependant, le jeune garçon gardait toujours cet esprit de combattivité fort en lui pour parvenir à réaliser ses rêves. Devenir une grande personne de grande envergure et avoir une femme parfaite, voilà ce dont le jeune homme rêvait à seize ans. Chaque jour, chaque minutes, chaque secondes ou encore chaque fraction de secondes le rapprochait de ses rêves. Voilà ce que Raiken était aujourd'hui à dix-sept ans après avoir persévéré dans sa voie. Aujourd'hui, il n'était plus vraiment seul ! Ses amis étaient là pour le soutenir, pour partager sa joie avec lui et surtout s'amuser.

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