Parlons tout d'abord du physique de cette jeune shinigami.
Ruki à de très beaux traits, que ce soit ceux du visage ou ceux du reste du corps.
Elle possède une beauté naturelle, que l'on pourrait qualifier de glacial. Son visage est d'une finesse incomparable et ses yeux sont tous simplement sublimes. D'un marron légèrement verdâtre, ils s’accordent parfaitement avec sa chevelure qui est d'une couleur des plus ou moins étrange, mais tout aussi ravissante. Pour en revenir à ceux qui marque le plus les personnes qui rencontres Ruki, qui sont ses yeux d'une rareté et d'une transparence sans égal. Ils expriment et dévoiles en une fraction de secondes tous ceux que peut ressentir, éprouver ou penser Ruki.
Sa chevelure d'un châtain terne,( l'on pourrait même pousser notre imagination et dire que c'est d'une couleur grisâtre), est longue et correspond parfaitement avec ses yeux. Elle fait comme guise de coiffure (qu'elle trouve tous particulièrement à son goût) deux couettes qu'elle ramène sur le devant de son corps. Sa longueur descend jusqu'à sa poitrine, ne pouvant apercevoir celle-ci. Elle attache ses cheveux à l'aide de deux rubans d'un vert écumes, ce qui est assorti avec ses yeux, mais non seulement avec ses cheveux.
Son visage parfois sans expression est d'une blancheur immaculée, ce qui fait ressortir tout le reste de ce charmant et doux visage.
Ayant une structure très fine son corps peut parfois laisser l’impression d'être très fragile. Mais contrairement aux apparences, il est résistant et ne faibli pas à la première occasion venue. Malgré son corps fin, Ruki aime la nourriture et ne manquerait pour rien au monde un repas. Du haut de ses 1,52 mètres et de ses 41 kg, sa silhouette laisserait pensait à celle d'une enfant et se dissimule facilement dans le paysage.

Maintenant si vous le voulez bien, je vais vous parlez de son mental.
Cette jeune shinigami, à un fort caractère et ne se laisserait marcher sur les pieds pour rien au monde. Défendre son honneur et ses intérêts prime sur tout le reste. Mais cela ne lui empêche pas d'être une personne très serviable, toujours à l'écoute des autres. Lors d'un combat, elle n'entend ou ne voix plus rien d'autre que son adversaire, c'est pour cela qu'elle préfère le combat à un contre un. Elle est de nature très concentrée et ne supporte pas les personnes très tête en l'air. De naturelle très calme et posée, elle ne supporte trop le bruit et agissements sans raisons fondées. Dû à son éducation Ruki est d'une droiture et respecte ses ainés, comme si sa vie en dépendait. Elle veut plus que tout au monde monter dans la hiérarchie. Protéger ses compagnons et un de ses nombreux principes. Elle n'a pas la larme facile et pour la faire s’émouvoir il faut toucher une corde sensible. La seule que l'on puisse toucher jusqu'à présent est Aiko ( je vous parlerez de lui dans " Votre Histoire ", alors soyez patients ). Cette jeune shinigami à des humeurs bien marquer. Quand on lui parle et qu'elle est en colère ou énerver on est sûr de passer un sale quart d'heure, mais au contraire quand elle est d'humeur joyeuse ou festive, elle est d'une douceur et d'une gentillesse incomparable. Dû à ce caractère qui est le moins que l'on puisse dire étrange et même hors du commun, cela lui vaut notamment la plus sincère des sympathie, qui n'est autre que celle de ses compagnons. Ruki pourrait paraître froide et distante au premier abord, mais enfouit tout au fond d'elle se trouve une timidité qu'elle dissimule derrière ce rideau de froideur.

Qui êtes vous

Un jour pluvieux dans le monde des humains, un bambin, tout droit venu de l'utérus de sa mère, fit son apparition au grand jour. Suivi de peu par un bambin lui aussi provenant du même utérus. L'un était de petite taille et d'une maigreur enfantine, l'autre était plutôt grand pour un nouveau né et à peine potelé. Ils étaient l'exact opposés et pour couronner le tous ils n'appartenaient pas eu même sexe. Leur mère essoufflée pris l'un de ses enfants dans ses bras tout en laissant l'autre au médecin. Elle n’avait la force de pouvoir contempler les deux bambins, alors elle décida de les prendre à tour de rôle. Celui dans les bras de sa mère avait cessé ses pleures, quant à l'autre il n'en faisait pas autant. Puis vint le tour du deuxième bambin d'être pris, il cessa immédiatement ses cris quand il eu à peine effleuré sa mère.

Elle nomma par la suite ses deux enfants Aiko et Ruki. Aiko était le cadet de Ruki. Ruki était non seulement la première à avoir fait surface sur cette planète, mais elle fut aussi la première à avoir pu ressentir la chaleur corporelle de sa mère. Ruki et Aiko étaient comme vous avez puent le constatez, des jumeaux. Leurs ressemblances étaient trompeuses et si l'on n'y regardait pas de plus près on pourrait à si méprendre confondre Ruki avec Aiko et inversement.

Puis les années passèrent et ses deux frère et sœur, grandirent tout deux différemment ou presque. Ruki avait un caractère des plus marqués, quant à Aiko il avait un caractère des plus effacés. Deux personnalités complètement différentes, mais physiquement, ils étaient identiques. ( A quelques détails près. ) Ils avaient tout deux pour chevelure un châtain terne légèrement grisâtre, des yeux d'un marron dont une pointe de vert venait s'y accorder. Un regard des plus expressif. Quand au reste du corps, ils avaient tout deux une petite taille et une taille très fine.
Malgré leurs différences de caractère, ils se rapprochaient tout deux de plus en plus chaque jour, jusqu'à devenir inséparables. Ils ne se lâchaient plus, si l'un faisait cela l'autre en faisait de même. Leurs mains respectives étaient enlacées tendrement. Leurs parents ne faisaient aucun traitements de faveur à l'un ou à l'autre, ils les traitent d'égal à égal sans différences, ce qui créa un climat des plus agréable et serin à vivre.

A leurs dix ans respectifs, ils furent victime d'un effroyable malheur. Leurs parents les avaient laissés sous la garde d'une voisine le temps d'une soirée. Ils étaient tout deux très excitaient à l'idée de passer pour la première fois une soirée "seuls". Mais la soirée qui devait s' avérée des plus joyeuses, n’eut pas lieu d'être. Elle fut pour eux la soirée qui débuta sur le fait qu'ils devinrent orphelins. Leurs parents étaient tous deux morts d'un accident de voiture, provoquait par l’inattention d'un conducteur presque ivre.
Ruki et Aiko qui étaient en train de s'amusaient dans le salon, virent tous deux la voisine à leur charge pour cette soirée, discutait longuement avec un homme en uniforme. Puis soudain elle mit sa tête entre ses mains et se mit à sanglotait de plus bel. Les deux enfants perturbés par cette vue se précipitèrent en sa direction. Ils firent une mine inquiète et l'un s'accrocha à sa jupe et l'autre à sa jambe comme pour insister. L'homme en uniforme n'eut le temps de prononcer ne serait-ce qu'un mot qu'elle secoua violemment la tête. Les enfants se mirent à rire, car le policier fit à cet instant précis une expression contrarier. La femme se pencha vers eux et les prit brusquement dans ses bras. Elle ne cessait de versée des larmes de chagrins. Ruki et Aiko gigotaient pour montrer à leur voisine qu'elle leur faisait mal en les serrant aussi fort. L'homme à cette vu partie immédiatement à la suite d'une courbette destinée à cette femme.
Ruki et Aiko furent informés de cette tragique nouvelle que quelques temps après. Ils étaient sous le choques et ne comprirent pas à l'instant précis. C'était leur tante, qui était en charge de leurs annoncée la mort de leurs parents biologique et ça serait à elle aussi d'en prendre la charge à l'avenir. Les deux frère et sœur se tenaient instinctivement les mains entre eux tous en les serrant de peur qu'elles ne soient séparées, le destin avait pris leurs parents alors pourquoi ne voudrait-il pas aussi les séparés une nouvelle fois d'un être qui leur est chers. Puis un moment passa et des larmes commencèrent à se faire sentir. Aiko à chaque montée de larmes, essuyait ses yeux avec son pull, des marques rouges dû au contact répétitif du pull sur ses yeux se mirent à apparaître petit à petit à chaque fois plus marquées. Quant à Ruki elle laissa évacué tous son chagrin par le biais de ses larmes, qui ne voulaient point restées dans son globe oculaire. Ils s’enlacèrent tout en espérant que se ne soit qu'un mauvais rêve. La nuit tomba et les deux enfants n'avaient pas mangés leurs repas. Ils allèrent se coucher avec un vide, un énorme trou à combler. Leurs yeux étaient emplis de chagrins et de mélancolies, que seul leurs parents biologique pourraient faire changer.

Six années passèrent depuis ce tragique accident, étant âgés tout deux de 16 ans, plus rien ne laissait paraître qu'Aiko était Ruki et inversement. Aiko était de grande taille et une carrure et musculature d'homme apparurent, une voix grave et rauque accompagnée ses paroles. Quant à Ruki une poitrine se développa, ses hanches se marquèrent et sa fine taille harmonisait le tout. Mais ses différences physiques ne les séparèrent en rien. Ils avaient gardés leurs instincts d'enfant et ne se quitter pas une seule fois du regard pour veillait sur autrui. Ils étaient dans le même lycée, dans la même classe et pratiqués exactement les mêmes activités. Malgré le fait est que leurs tante est faite l'effort de les faire installer dans des chambres différentes pour préserver leurs intimités, cela ne les empêchaient aucunement de se retrouver le soir pour pouvoir partager leurs rêves.

En cette saison hivernale, nous étions en plein mois de décembre quand "cela" est arrivé, si brusquement et si étonnamment que personne n'aurait imaginé cela possible.
Il était tard quand "cela" a fait son apparition. Ruki était chez une amie, car elle venait juste de se disputer avec Aiko pour une simple sottise. Elle ne cessa de râler sur le compte d'Aiko pendant tout le temps qu'elle demeura chez son amie. Elle reçut un message d'Aiko indiquant qu'il était devant la maison de Hinata ( nom de son amie ) et qu'il stipulait vouloir s'expliquer avec Ruki. Elle fit la moue tout en se dirigeant vers son frère. Il l’accueillie le sourire aux lèvres, elle n'en fit pas autant. Il voulut l'enlacer, mais elle déclina l'invitation d'un geste brusque. Il lui dit :

- Arrête tes enfantillages veux-tu ? Tu veux avoir le dernier mot, mais tu sais pertinemment que c'est moi qui ai raison. Mais j'avoue que sans ce fichue caractère tu ne serais pas la sœur que je chéris tant.

Il rougit bêtement.
Elle esquissa un souffle et se dirigea lentement vers lui et lui fit un signe pour montrer son accord.
Alors, un sourire niait apparut sur le visage d'Aiko qui prit doucement et sûrement Ruki entre ses bras. Puis ils se dirigèrent main dans la main en direction de la maison de leur tante. Au moment de traverser pour accéder à l'autre rue qui les conduiraient chez eux, Ruki glissa malencontreusement sur une plaque de givre qui s'était formée dû au froid. Elle entraîna dans sa chute Aiko, ils tombèrent lourdement sur le sol glacé. Ils n’eurent le temps de réaliser qu'une lumière aveuglante les éblouirent. Puis un bruit sourd se fit entendre. Ils avaient était littéralement écrasés par une voiture. Ruki ouvrit avec difficulté ses paupières, qui lui paraissaient si lourdes. Elle put difficilement distinguait quelques choses, comme un épais brouillard qui était venu se glisser entre ses yeux. Une odeur de sans lui envahit le nez, puis elle put distinguer brièvement une silhouette qui tendait la main. C'était Aiko qui appelait Ruki en vain. Dû au choque Ruki n'entendit plus rien autour d'elle, mise à part ce bruit sourd et insupportable qu'elle aurait voulu faire cesser. Elle prononça ses mots, sans même entendre ce qu'elle disait :

- Ai ... ko je ... huh huh ... suis navrée.

Il resta assez de force à Aiko pour lui hurler son nom. Elle sentit peu à peu son esprit quitté son domicile, son corps, puis plus rien, un vide l'envahit pour l'a conduire par la suite dans un profond "sommeil".

Quand elle reprit ses "esprits", elle se trouvait dans un endroit qu'elle ne connaissait pas le moins du monde. Elle portait en guise de vêtement un kimono d'une blancheur qui lui fit tourner la tête. Elle avait succombé au blessure infligées par cet accident. Quelle ironie du sort, la mort de ses propres parents furent elle aussi produite par une automobile. Le destin joue parfois de vilains tour. Elle n'eut à peine le temps de se remettre du choc produit par ce changement de "monde", qu'elle regarda dans les alentours si elle pouvait par un doux miracle apercevoir Aiko. Mais rien, il n'y avait que des personnes dont elle n'avait jamais vu les visages auparavant, ce qui la perturba pendant un moment. Il y avait plus important encore, Aiko n'était pas avec elle. Elle eu comme un sursaut est pensa intérieurement, que peut-être son frère avait survécu. Mais elle n'y croyait pas vraiment, car il avait pris la voiture de plein fouet, tout comme Ruki. Elle fit d'abord le point de tout ce qui c'était passer pour arriver à la conclusion, qu'elle avait rejoint ses parents dans l'au-de-la, une lumière vint lui éclairer l'esprit. Elle se leva brusquement, ce qui conduisit à une perte d'équilibre de sa part, elle se remit sur pied et couru tant qu'elle le pouvait. Elle avait une seule idée en tête retrouvée Aiko et ses parents bien évidemment. Ils seraient enfin réunit pensa-t-elle et cette douce pensée lui redonna son sourire perdu et lui donna une once d'optimisme. Cela fut de courtes durées, certes, car ses recherches ne la conduisirent qu'à un chemin vide, où personne ne l'attendait. Vite à bout de souffle elle décida de se reposer un instant dans un coin de la rue, elle tomba raide de fatigue. Elle rouvrit les yeux à une heure non estimée. Elle avait était une fois de plus déplacée lors de son sommeil. Cette fois elle était dans une maison, il faisait chaud et cela sentait délicieusement bon. Elle vit une vieille femme, qui aurait pu être sa grand-mère, afficher sur ce visage marqué par la vieillesse, un sourire qui redonne chaud au cœur. Elle s'approcha près de Ruki et lui dit ses paroles :

- Vous étiez brulante de fièvre jeune fille, alors je me suis permis de vous soigner. Vous savez rester dehors avec une température aussi basse ce n'est pas bon pour votre corps, qui plus est dormir dans ce climat est extrêmement dangereux. Quant à vos vêtements j'en déduis que vous venez tout juste de nous rejoindre. Soyez la bienvenue à la Soul Society mademoiselle.

Ruki n'en revenait pas de ce que la vieille femme lui disait. Puis elle continua de parler :

- Au que je suis sotte, je ne me suis même pas présentée, veuillez m'en excusez. Je me nomme Murataya Ringo. Et vous si je puis me permettre comment vous nommez vous ?

- Oh moi ! Je me nomme Ruki, Ruki Amistu.

- Ruki, quel nom étrange.

- Il n'est pas courant je vous l'accorde.

- Bien passons à table voulez-vous ?

- Bien sûr !

Son visage exprimé une expression délicate et attentionnée, ce qui rassura Ruki. Quand elle eut finis de manger, la vielle femme invita Ruki à loger chez elle. Ruki ne pouvant refuser une offre courtoisement demander, elle accepta sans s'y opposer.

Depuis ce jour Ruki ne quitta pas cette demeure et s’installa vivre chez celle qu'elle considérait comme sa grand-mère. Ruki abandonna ses recherches sur sa famille, pour consacrer le maximum de son temps à venir en aide à cette vielle femme. Puis part la suite Ruki entendu parler des Shinigamis, elle les admirait et voulait devenir l'une des leurs. Elle fit tous pour que cela ce réalise, elle développa une pression spirituelle et s'entraîna au combat durant plusieurs années. Le jour tant attendu était arrivée Ruki avait était sélectionnée, pour rentrée à l'académie des Shinigamis. Elle était plus que comblée et fêta dignement cela avec sa "grand-mère". Mais Ruki n'avait absolument pas oubliée sa famille. Le fait de devenir Shinigami pourrait l'aider dans ses recherches, pensa-t-elle. Les années passèrent et Ruki devint un Shinigami à part entière. Elle avait une fois de plus réussit un de ses nombreux objectifs.

Maintenant sa priorité sera, la recherche de Aiko son frère.

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